A partir de cet automne, 86% des besoins de chaleur d’Airbus* à Toulouse, pour ses lignes d’assemblage d’avion, ses activités de peinture avion et ses bureaux d’études, seront alimentés par des chaufferies biomasse à partir de copeaux de bois issus de forêts locales ou de chutes de palettes récupérées dans ses usines. Le groupe va exploiter une chaufferie de 20 MW opérée par Engie et installée à côté de la nouvelle ligne d’assemblage de l’A321 neo. La nouvelle installation à Toulouse a demandé 27 M€ d’investissement, dont 18 M€ financés par Airbus et 9 M€ par l’Ademe. En 2026, le site d’Airbus Atlantic* à Nantes lancera à son tour l’activité de sa chaudière biomasse d’une puissance de 8 MW.